Les 16, 17 et 18 septembre 2021, Paris sera le théâtre d’un événement exceptionnel que la revue Diasporiques est heureuse de signaler à ses lecteurs.
Philippe Apeloig
Les 16, 17 et 18 septembre 2021, Paris sera le théâtre d’un événement exceptionnel que la revue Diasporiques est heureuse de signaler à ses lecteurs.
Philippe Apeloig
« Graphiste, je voudrais tracer un trait d’union entre mémoire et typographie en partageant l’émotion qui se dégage des plaques, leur beauté et le message qu’elles délivrent », explique Phillipe Apeloig.
Salomé Guez
Vendredi 9 octobre 2020
Musée de Gajac
Villeneuve-sur-Lot, France
L’art, c’est comme de l’oxygène ou l’eau. On a besoin de cela, il y a quelque chose de vital et à la fois qui laisse une trace dans la mémoire. Les artistes, souvent malgré eux, sont dans la transgression, libres comme l’air et nécessaires comme l’eau.
Valentine Meyer
Depuis plus de trente ans, le graphiste et typographe Philippe Apeloig puise son inspiration dans toutes les formes d’art et traduit en lettres une certaine vision du monde.
Patricia Boyer de Latour
In diesem Beitrag wird ein außergewöhnliches und wunderbares Buch vorgestellt, in dem alle Pariser Erinnerungstafeln zu der Zeit von 1939 bis 1945 fotografisch festgehalten sind.
Wolf Joeckel
Rédacteur en chef invité de ce numéro de Livres Hebdo dédié au « design », le graphiste et typographe Philippe Apeloig explique comment le beau doit entrer dans la réflexion de chaque professionnel du livre.
Claude Combet – Anne-Laure Walter
Du samedi 9 mars
au samedi 11 mai 2019
From February, Tuesday 5th
to June, Saturday 15th 2019
Arrestations, déportations… les plaques commémoratives, à Paris, en disent long sur 1939-1945. Petit-fils d’un ébéniste juif du quartier de la Nation, Philippe Apeloig les a compilées dans un livre exceptionnel.
Xavier de Jarcy
Dimanche 27 Janvier 2019
Cinéma MK2 Quai de Loire
Paris, France
On les voit et on ne les voit pas. Des plaques apposées sur les murs de Paris rappellent celles et ceux qui sont morts pour la France, mort en déportation, tous ces enfants de la patrie, enfants du paradis, que célèbre donc Enfants de Paris, 1939-1945, de Philippe Apeloig.
Norbert Czarny
« Les plaques sont des empreintes gravées de ce qui a été grave, et qui le demeure », écrit le graphiste Philippe Apeloig dans le texte introductif de son beau livre, un épais pavé de Paris.
Valérie Marin La Meslée
Cette création à la fois graphique et écrite, entre typographie et mémoire pourrait-on dire, nous la tenons devant nous à travers ce millier de pages, des photos, toutes prises selon le même protocole. […] S’en tenir à une démarche est un geste d’artiste, une façon de créer de la beauté et de l’émotion, et tel est le cas.
Norbert Czarny
Parce qu’il aime le dessin des lettres, Philippe Apeloig nous fait, au-delà d’une plongée dans l’histoire, apprécier la variété de la typographie de ces inscriptions lapidaires. Certaines plaques ont disparu, d’autres sont remplacées.
Frédérique Fanchette
Les plaques sont comme des feuilles de papier, mais en dur, des objets presque invisibles et pourtant tellement sensibles. Ce n’est pas nous qui les regardons, mais elles qui nous regardent. Les lire est bouleversant.
Christian Simenc
Enfants de Paris 1939-1945, publié par Gallimard, est un ouvrage aussi simple, évident, qu’inattendu. Faisant dans les 1100 pages et montrant 1200 photographies de plaques commémoratives de la période 1939-1945 à Paris, ce “livre d’artiste” est signé par Philippe Apeloig.
Christian Rosset
Avec ce livre, émouvant comme un souvenir et précis comme un travail d’historien, leur petit-fils transmet « la mémoire de la mémoire ». Celle d’une époque où l’on pouvait mourir à tous les coins de rue.
Xavier de Jarcy
Cela ressemble à un pavé. Gris, lourd, massif. A l’intérieur, que de la pierre, du marbre, blanc, vert ou noir, du travertin, un peu de cuivre.
Philippe Apeloig précise qu’il s’agit là d’un ouvrage artistique, et non d’un document historique. L’initiative artistique et la qualité esthétique de son ouvrage sont centrales pour le plasticien.
Marie Sarah
Outre son intérêt historique, son projet inédit, cet opus constitue une prouesse éditoriale, presque un livre-objet, avec ses 1 200 photos, ses 1 100 pages, et ses pages de garde, l’une bleue, l’autre rouge, recréant, avec l’épaisseur des tranches blanches, le drapeau national.
Jean-Claude Perrier
The nonstop use of technology implies that we are, all around the world, starving for images. I think this phenomenon has entailed something of an increased interest in design, to learn the processof visual communication.
Afsaneh Angelina
An exhibition by the major French graphic designer Philippe Apeloig was held from August to September in Tokyo. We talked to Apeloig who is known for his original, emotion-filled lively typefaces and design.
Noriko Kawakami & Junya Igarashi
Philippe Apeloig est l’un des plus prestigieux graphistes du monde. La composition d’une affiche, le positionnement des lettres sur une feuille, le sens des couleurs et du rythme, la puissance du message à délivrer, rien ne lui échappe.
Catherine Scotto & Philippe Trétiack
Philippe Apeloig’s new show at Tokyo’s Ginza Graphic Gallery marks a full circle for the Parisian designer.
Ali Morris
Philippe Apeloig speaks about his past, his influences and his wildly unique aesthetics—all of which manifest in his amazing design and typography.
Debbie Millman
À Paris, la galerie de Sèvres met à l’honneur le travail de Philippe Apeloig. Le graphiste-affichiste trouve avec la céramique une expression formelle, source d’une charge émotionnelle forte, à travers trois techniques et cinq formats.
Bénédicte Duhalde
La Manufacture de porcelaine de Sèvres décline, depuis 1740, la quintessence des arts de la table. En un geste vif, Philippe Apeloig a ainsi joué des signes de ponctuation sur un service déjà culte, à découvrir dans l’espace parisien de la Manufacture de Sèvres.
Yamina Benaï
J’ai toujours écrit, des recueils de nouvelles ou des débuts de romans jamais achevés, j’ai tenu régulièrement un journal, j’ai eu des longues correspondances avec des amis et ma famille qui composent au final des centaines de pages de récits et de mémoires. Il y a fort longtemps, j’avais proposé mes nouvelles à deux éditeurs, qui les ont refusées.